Dépasser la « pensée colibri »
Face à l’urgence environnementale et sociale, nombreux sont les appels à « faire sa part », chacun à son échelle : manger bio, faire du vélo, économiser du papier…
Mais ces dites solutions sont-elles à la taille de l’enjeu ?
Cette approche des « petits gestes positifs pour la planète » ne contribue-t-elle pas à un horizon d’engagement totalement dépolitisé ?
Loin de tout rejeter, cette analyse cherche à mieux décortiquer la « pensée colibri ».
Elle est surtout une invitation à poursuivre le débat.
Par Barbara Garbarczyk -> Lire l’analyse.
Identités et dynamiques plurielles de l’économie sociale
L’économie sociale est plurielle dans ses formes, ses dynamiques, son identité.
Difficile de la caractériser, de cerner toutes les richesses de ses facettes, de comprendre ce qui rassemble des acteurs aussi différents dans le mouvement de l’économie sociale.
Voici une analyse qui fait le point entre différentes approches complémentaires pour en appréhender toute la diversité mais aussi pour questionner son identité et identifier là où elle peut être mise à mal.
Par Hugues De Bolster -> Lire l’analyse.
Fin du monde ou fin du capitalisme ?
La contribution « alternative » des coopératives énergétiques
L’évolution de notre climat génère son lot d’études scientifiques et de réflexions philosophiques, d’actions individuelles et collectives, de manifestations de masse ou d’actions de désobéissance civile. Malheureusement, elle ne suscite pas encore assez d’actions politiques.
Cette évolution climatique peut être vue comme l’illustration dramatique de l’impasse que constitue fondamentalement le capitalisme.
Dans cette analyse, un regard que nous espérons neuf est porté sur un type d’initiatives citoyennes qui se trouve à la croisée de l’enjeu climatique et de l’économie sociale : les coopératives énergétiques citoyennes. Où en sont-elles et vers où vont-elles ? Quelle part prennent-elles éventuellement dans la construction d’un monde post-capitaliste ?
Par Quentin Mortier -> Lire l’analyse.
La co-construction, ingrédient indispensable de toute évaluation d’impact social
Dans le cadre d’une démarche d’évaluation de l’impact social, la co-construction favorise l’implication de tous les acteurs de la structure sociale. Elle traverse différentes étapes et épreuves qui lui permettent d’incarner l’évaluation dans la réalité du terrain et dans les pratiques de l’entreprise. A travers un exemple d’évaluation de l’impact d’une importante entreprise sociale, nous analysons ce processus de co-construction.
Par Joanne Clotuche -> Lire l’analyse.
Pistes pour mieux répondre aux besoins et aspirations sociales
Les entreprises sociales cherchent à répondre à des besoins sociétaux. Cependant, identifier ces besoins et, surtout, déterminer la façon dont on peut répondre à ces besoins est loin d’être une tâche aisée. Sur base de la pratique de SAW-B, nous identifions plusieurs erreurs qui sont commises et nous proposons quelques pistes pour mieux identifier ces besoins. Notamment celle de distinguer besoin et aspiration sociale.
Par Joanne Clotuche -> Lire l’analyse.
Une économie sans propriétaires
Dépasser la propriété. Voilà un projet qui ne mobilise plus les foules et n’occupe plus guère les esprits. Longtemps présentée comme alternative au capitalisme, la propriété collective – via la coopérative ou via l’étatisation des moyens de production – semble avoir montré ses limites. Et si le problème était la propriété tout court ? C’est ce que nous suggère Benoît Borrits dans son ouvrage « Au-delà de la propriété. Pour une économie des communs. » Un propos que cette analyse tâche de présenter et de discuter.
Par Mathieu Vanwelde -> Lire l’analyse.